Photographie Plasticienne

Avec cette série de photographie Plasticienne Jean-Marie Palacios   propose une stratégie de recomposition des images destinées à retenir le regard.  Je mélange les images par divers procédés techniques  numériques (HDR)  ou chimique (Transcryl) qui joue sur la peau d’image.

Désir d'être une Machine photographie plasticienne

Technique cyborg

Pictorialisme

Il s’agit d’une sorte de pictorialisme ressuscité sous une forme destructrice du photographique. Le nouveau pictorialisme ne se contente pas de peindre sur les photos et de les rendre plus belles mais de proposer  une  photographie décalée. Une photo qui n’est plus un signe  mais un processus en devenir.

Défilement photographie plasticienne

Flux d’objets

Réseau Sociaux

On peut constater avec les réseaux sociaux que l’art est une préoccupation de milliers de gens. L’art serait une manière de combler un manque, un plaisir indispensable à la vie.  En effet si on en croit  Bergson  « Si la réalité venait frapper directement nos sens, notre conscience en communication immédiate avec les choses et avec nous-même. L’art serait inutile ». Le numérique avec la logique pragmatique des algorithmes peut-il explorer une  réalité comme la fait le peinture avec le développement du multimédia.

On passe au cryptage au brouillage au flou. Une image incertaine, mal définie à la limite de l’extinction qui semble dire je suis image mais je le suis pas exactement. Mon origine la photographie je suis passé par le numérique,  je suis sur un support quelconque papier écran aluminium. J’ai une efficacité symbolique.

En art la photographie n’atteste pas  elle invente. Elle relie des éléments que rien ne disposaient à se rencontrer.

Interrogation sur la  matière des images Mon travail s’appuie en premier lieu sur un travail de photographie et un sens pointu de la composition. Je  trouve mon inspiration dans la diversité et le mouvement de la vie qui sont dans les images vidéos de la télévision et des sites internet  et des photographie personnelle.  Je  crée des transparences, de la profondeur par des superpositions, et des impressions photographiques accentuées par divers procédés  numériques,  (le plus souvent souvent  hors photoshop) faisant émerger ainsi des jeux d’optique, d’ombre et de lumière. J’exprime un univers dynamique et coloré en imprimant ces productions numériques sur des plaques d’alu Dibond, Je  dévoile des histoires individuelles ou des concepts comme  le hasard, le réseau,  les flux  ou faire allusion au pop art et obtenir une  vision cohérente.  Je tente de faire parler chaque tableau  avec l’émergence provoqué par fusion.   Il peut y être exprimé une  vision chaotique dans laquelle l’ordre se fait au gré de notre mémoire

Recomposition d’images

Mon  processus  de création consiste à  superposer  différences images  par un procédé numérique qui crée une stratégie de recomposition comme pourrait le faire  la mémoire humaine.  La mémoire humaine n’opère pas comme un appareil photographique, elle altère confond, agglomère, mélange et déforme. Il s’agit pour moi d’aller au-delà des automatismes pour trouver une nouvelle vision par un processus d’émergence.

Une image incertaine, mal définie à la limite de l’extinction qui semble dire je suis image mais je le suis pas exactement. Je suis sur un support quelconque papier, écran, ou  aluminium. J’ai une efficacité symbolique.

Où trouver le produit Trancryl :  permet de transférer par report une image préalablement imprimée sur papier non glacé. Le film peut ensuite être travaillé avec le vernis.

Exposition Palacios

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