Giulio Paolini L’Auteur inconnu

Giulio Paolini expose une rétrospective-perspective simultanément dans quatre lieux — les galeries Marian Goodman et Yvon Lambert, à Paris et à New York. Chez Marian Goodman, Paris. Jean Paolini et le collage, pourquoi pas, dans la mesure où il rassemble des éléments pour alimenter une démarche. Mais avec cet artiste hors norme le collage n’est qu’un moyen parmi d’autre pour exprimer un jeu de déconstruction subtil.

Paolini
Mais les œuvres de jean Paolini présentées à la Galerie Yvon Lambert et Nadie Goodmann entre le 14 décembre et 27 janvier simultanément à Pairs et New York exprime en particulier un travail sur la perspective, l’effacement, le cadrage. Il aussi joue sur le carré, le point et le vide. Au centre du tableau convergence des perspectives est un lieu vide. Le secret de l’œuvre est enfoui dans la forme, un jeu de miroirs et de mise en abîme. Une fois de plus la rencontre des éléments s’exprime. En passant vite devant les œuvres on ne s aperçoit pas très bien des références au peintre Poussin et encore moins à une expression d’un structuralisme que des critiques ont un peu vite classé aux archives de l’histoire de la philosophie. L’œuvre de Paolini qui prend son origine dans l’art Povéra. Une savante déconstruction qui s’intègre parfaitement dans l’histoire de l’art.

Ce contenu a été publié dans expositions. Vous pouvez le mettre en favoris avec ce permalien.